C’est en 1968 que Nicolas Schilling s’est lancé dans l’aventure de vivre sa passion : Le vin ! Après ses études viti-vinicoles en Bourgogne et plusieurs années de pratique technique et commerciale dans le grand milieu professionnel, ce natif de Suisse, bourguignon dans l’âme, est allé à la découverte de nombreux vignobles du monde et de leur gastronomie. La sélection et la dégustation rigoureuse devenant son atout premier, il décide dès les années 1970 de former un partenariat avec de nombreux producteurs de vins de France et d’Italie afin de développer ensemble « la culture de l’exportation ». Au fil des années, respectivement de quelques décennies, Nicolas Schilling est devenu un acteur principal dans la filière grâce à son travail acharné et son intégrité. Ainsi, les acheteurs et clients des principaux pays consommateurs accordent autant à Nicolas Schilling qu’ à ses équipes au grand savoir-faire, leur totale confiance.
L’évolution extraordinaire des habitudes de nos consommateurs de se procurer leur vin préféré ou de découvrir « autre chose » nous a amené à nous rapprocher d’eux par l’ouverture de cet e-shop. Depuis peu, nous avons inclus sur notre site, notre prix-courant avec d’autres vins de France dont de très jolis crus de Bourgogne, Val de Loire, Beaujolais et Pays d’Oc. Visualisez dès maintenant notre tarif en cliquant sur le lien en haut de cette page et laissez-vous séduire par notre sélection.
Venez découvrir notre choix de vins prestigieux à des prix raisonnables!
NOTE IMPORTANTE :
Notre site internet rencontre parfois des problèmes lors de commandes et nous vous prions de nous en excuser. Si vous n'arrivez pas à passer commande depuis notre site internet, nous vous remercions de bien vouloir nous adresser votre demande par email à l'adresse suivante : eshop@nicolas-schilling.com.
En vous remerciant.
Nicolas Schilling
A Bordeaux, chaque millésime est différent…
Qualité et quantités en récompense d'un millésime exigeant ! Quantités, fraîcheur, maturité, concentration, sucres et acidité : à Bordeaux, l'année 2019 réunit toutes les qualités d'un très bon millésime.
Il aura éprouvé les nerfs des vignerons de bout en bout, avec ses conditions climatiques extrêmes. Né sous tension, le millésime 2018 s’annonce finalement à l’heure des vinifications comme « inédit, de très belle qualité, avec une maturité parfaite pour tous les cépages, et des vins alliant concentration, rondeur et équilibre, qui raviront les consommateurs et inscrivent assurément 2018 parmi les grands millésimes du XXIe siècle. »
Malgré une météo « éprouvante », entre gel fin avril 2017 et grêle fin août 2017, qui a détruit 40-50% de la récolte, le millésime 2017est très hétérogène mais révèle cependant de belles surprises avec des qualités inattendues chez certains.
Ce millésime, moins tannique que 2015, revient pourtant de loin. Après une année compliquée, un printemps avec des attaques de mildiou et un été très sec, les prévisions de récoltes étaient au plus bas avant les vendanges. Les pluies de début septembre et l'été indien ont finalement permis aux raisins d'atteindre une maturité parfaite.
De par leur durée, de début septembre pour les blancs jusqu'à fin octobre pour les rouges, les vendanges ont également été exceptionnelles. Pour la qualité, 2016 fait partie de la série des grands millésimes qui se suivent comme 1982/1983, 2009/2010. Il se caractérise notamment par d'excellents merlots et un haut degré d'alcoolémie.
La météo de 2015 a été particulièrement favorable à l’élaboration de ce millésime. De manière assez homogène, l'ensemble du vignoble français présentait un très bon état sanitaire lors des vendanges. A Bordeaux, la satisfaction est unanime dans presque toutes les appellations. Quantité et qualité sont au rendez-vous. Beaucoup comparent certains vins du millésimes 2015 avec les excellents 2005 et 2009 où le niveau qualitatif est très proche. Avec des structures riches et complexes, le style du millésime est très plaisant avec une grande capacité de garde.
Après trois années difficiles, la récolte 2014 semble excellente, tant en quantité qu'en qualité ! En effet, après un été très maussade, frais et humide, les vignerons du bordelais ont pu se réjouir du retour du soleil au mois de septembre. Le formidable été indien auquel nous avons eu droit cette année, permet de combler les températures plutôt fraiches pour la saison du mois d’août, et laisse ainsi naître un millésime de très grande qualité.
Il y a de très belles réussites sur ce millésime ! Le climat a spécialement bien convenu au Cabernet Sauvignon et principalement au terroir de la rive gauche.
Avec ce 2013, millésime dit « technique » par les producteurs qui ont dû faire face à des conditions météorologiques de loin favorables, et dit « millésime de plaisir » par les premiers dégustateurs, les 2013 ont dans l’ensemble, de belles réussites. Ce ne sont pas des vins de garde mais plutôt des vins prêts à être déguster dans leur jeunesse. Malgré les faibles rendements, les prix ont quand même baissé de 20 à 30% et devraient attirer tous ceux qui ont passé leur tour sur les millésimes précédents.
2012 ne sera définitivement pas une année d’anthologie mais reste cependant un très bon millésime ! Les vins rouges présentent de beaux équilibres et sont dans l’ensemble, supérieurs au 2011 avec un peu plus de fruit et de rondeur. Les blancs secs sont dans l’ensemble très bien réussis mais la partie a été plus difficile en Sauternes où certains domaines n’ont pu élaborer leur fin nectar.
Après 2 millésimes qualifiés d’exceptionnels par les professionnels du vin, 2011 aura lui été marqué par des conditions climatiques difficiles avec un printemps chaud et un été inhabituellement froid et humide. 2011 semble un millésime réussi pour les blancs, avec des vins secs où l’on retrouve fraîcheur et acidité. Alors que les rouges ont tendance à être plus hétérogène. Pour Robert Parker, ce millésime devrait pour la majeure partie d’entre eux trouver leur apogée dans les 5 à 15 ans.
Après la qualité exceptionnelle du millésime précédent, le bordelais a enregistré en 2010 une vendange qui ressemble en tous points à 2009 au niveau de la qualité. Le millésime 2010 est plus complexe, tannique et bénéficie d’un très grand potentiel de garde.
Ce millésime 2009 faits partie des plus grands millésimes jamais réalisés, assurent tous les professionnels du vin. Il se compare presque au 2005, avec plus d'homogénéité entre appellations et entre rive droite et rive gauche.
« C'est le meilleur millésime que j'ai dégusté depuis celui de 1982. La faible acidité, la maturité des fruits et la forte concentration qui caractérisent ces vins les rendent très séduisants… » - Robert Parker
Dû en partie à la crise financière, le millésime 2008 apparaît comme un des meilleurs rapports qualité/prix des millésimes récents. Vous retrouverez dans le millésime 2008, le fruit des vins jeunes et tout l’avenir devant eux. Bien équilibré, riche et harmonieux.
De plus, selon une étude du Liv-Ex après la sortie des Primeurs 2013, 51% des professionnels du vin ont classé le 2008 n° 1 en comparaison avec 2007,2011, 2012 et 2013. 2008 est donc une alternative intéressante pour ceux qui souhaitent se créer une cave de grands vins à un prix attractif.
Voisin de Troplong Mondot et de Pavie, La Mondotte est un minuscule vignoble de 4,5 hectares situé à l'est du plateau de Saint-Emilion.
Ses vieilles vignes (plus de 60 ans) n’ont donné leur premier millésime - en tant que cru à part entière - qu’en 1996, sous l’impulsion du comte Stephan von Neipperg, également propriétaire de Canon-La-Gaffelière. C'est le consultant Stéphane Derenoncourt qui accompagne le domaine, élevé au rang de 1er Grand Cru Classé B en 2012. Sur un terroir argilo-calcaire sur socle rocheux, le vignoble est constitué de merlot (75%) et de cabernet franc (25%).
La robe est très profonde, la bouche d’une grande et noble opulence, l’ensemble remarquablement équilibré. Il se bonifie pendant de nombreuses années et devrait se conserver en général au moins 20 à 30 ans. La production annuelle est limitée à environ 11.000 bouteilles.
